Conflit sur les dépenses sociales : les associations tirent la sonnette d'alarme à MV !

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Conflit sur les dépenses sociales à MV : 280 associations réclament de la transparence et davantage de soutien aux aides et aux crèches.

Konflikt um Sozialausgaben in MV: 280 Verbände fordern Transparenz und mehr Unterstützung für Hilfen und Kitas.
Conflit sur les dépenses sociales à MV : 280 associations réclament de la transparence et davantage de soutien aux aides et aux crèches.

Conflit sur les dépenses sociales : les associations tirent la sonnette d'alarme à MV !

La situation en Mecklembourg-Poméranie occidentale est tendue : un différend a éclaté entre le gouvernement du Land et les associations sociales au sujet des dépenses sociales prévues dans le prochain budget de l'État. Près de 280 organisations, dont des clubs, des centres de conseil et des centres sociaux, ont lancé un appel urgent à la Première ministre Manuela Schwesig (SPD) pour qu'elle fasse part de leurs préoccupations. Ils craignent que les coupes budgétaires touchent particulièrement durement les personnes dans le besoin. La raison de ces inquiétudes est la loi relative au budget, qui est débattue au parlement du Land et doit être adoptée en décembre. Cette réglementation pourrait avoir des effets profonds sur les ressources financières des garderies et des institutions sociales, comme Wismar.fm signalé.

Conflits concernant les soins domestiques et sociaux

Les principaux points de discorde portent sur les ressources financières destinées au fonctionnement des crèches et à l'aide aux personnes handicapées, qui doivent être reréglementées dans le projet de loi. Les associations sociales telles que DRK, AWO et Diakonie en particulier expriment de vives critiques à l'égard des changements prévus. Vos craintes ne sont pas sans fondement : il pourrait y avoir moins de crèches dans les zones rurales parce qu'elles doivent supporter elles-mêmes des coûts supplémentaires imprévisibles sans pouvoir constituer des réserves. En outre, la nouvelle réglementation sur le remboursement, qui ne s'applique qu'aux enfants effectivement présents, est considérée comme une charge financière potentielle pour les établissements. Selon NDR, cela crée une grande incertitude parmi les employés, qui s'inquiètent d'une diminution du personnel et d'une charge de travail plus élevée. La pression sur le gouvernement du Land est donc énorme, notamment parce que l'accès des personnes handicapées est perçu comme menacé.

Cependant, la ministre de l'Éducation, Simone Oldenburg (à gauche), a fermement rejeté les allégations de coupes budgétaires. Elle promet que les garderies continueront d'exister sous leur forme actuelle et qu'aucune ne sera fermée. "Plus de 550 millions d'euros seront prévus pour les crèches dans le nouveau budget", souligne-t-elle, selon les informations de NTV. Il est également précisé que les familles concernées devraient continuer à bénéficier d'un service de garde d'enfants gratuit jusqu'à dix heures par jour.

Défis et perceptions futurs

Les nouvelles réglementations visent à créer à la fois efficacité et transparence après la forte augmentation des coûts de l’aide à l’intégration ces dernières années. Ces dépenses s'élevaient à 288 millions d'euros en 2016 et devraient atteindre 686 millions d'euros d'ici 2025. Néanmoins, des inquiétudes subsistent quant aux risques liés aux services sociaux du Mecklembourg-Poméranie occidentale, ce que confirment les retours des associations. Bien que le gouvernement rejette les allégations selon lesquelles des coupes budgétaires compromettraient les offres d'aide, la manifestation de la Ligue des associations indépendantes de protection sociale, qui aura lieu prochainement à Schwerin, illustre les tensions persistantes. Leur devise : "MV reste social ! Pour un avenir sûr de l'offre sociale en Mecklembourg-Poméranie occidentale."

Le conflit entre l’efficacité financière du gouvernement de l’État et les craintes des associations sociales reste un sujet brûlant. Avec une augmentation significative des dépenses sociales à l’horizon et dans le même temps une baisse des revenus, une situation complexe se dessine qui inquiète de nombreux citoyens et salariés des professions sociales. Il reste à espérer que les discussions entre les parties seront constructives et qu'une solution sera trouvée qui tienne compte des besoins de toutes les parties concernées et qui protège les services sociaux de la région.