Attaque brutale contre des personnes trans à Brême : les auteurs dans le collimateur de la police !

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Le 7 juillet 2025, une personne transgenre de 18 ans a été brutalement agressée à Brême-Walle. La police enquête sur des motivations transphobes.

Am 07.07.2025 wurde in Bremen-Walle eine 18-jährige Transperson brutal angegriffen. Polizei ermittelt wegen transfeindlichen Motiven.
Le 7 juillet 2025, une personne transgenre de 18 ans a été brutalement agressée à Brême-Walle. La police enquête sur des motivations transphobes.

Attaque brutale contre des personnes trans à Brême : les auteurs dans le collimateur de la police !

Une attaque effrayante contre une personne transgenre de 18 ans a eu lieu à Brême-Walle dans la soirée du lundi 7 juillet 2025. Comment rapport de non-remise Les faits se seraient produits vers 19h30. à l'arrêt de tramway Jadestrasse. Soudain et sans aucun avertissement, les jeunes agresseurs, décrits comme étant âgés d'environ 15 à 20 ans, au teint foncé et aux vêtements sombres, sont devenus actifs.

La victime a été brutalement battue et frappée à coups de pied par les agresseurs, alors même qu'elle était allongée au sol. Après l'attaque, les auteurs ont fui les lieux tandis que la jeune femme blessée a été transportée à l'hôpital pour des soins ambulatoires. La police dispose désormais de premières informations sur les suspects et confie l'enquête à la sécurité de l'État car un mobile transphobe est suspecté. La victime est connue pour être transgenre dans la région et pense avoir été ciblée en raison de son identité.

Conséquences juridiques pour les auteurs

À quelles conséquences pénales les auteurs d’une telle attaque s’exposent-ils ? Fort anwalt.de Selon l'article 224 du Code pénal, des lésions corporelles dangereuses pourraient être appliquées parce que les auteurs ont agi ensemble et ont donné des coups de pied à une personne sans défense. La peine peut aller de six mois à dix ans de prison. Une éventuelle insulte envers la victime avec des expressions transphobes est également prise en considération.

Pour les jeunes de moins de 18 ans, les dispositions de la loi sur le tribunal de la jeunesse s'appliquent, l'accent étant mis sur la notion d'éducation. Des sanctions pour mineurs, des arrestations ou des travaux d'intérêt général peuvent être imposés. Étant donné que l’implication de la sécurité de l’État indique que des aspects politiquement motivés entrent également en jeu, les conséquences juridiques pourraient être renforcées en conséquence.

Crime de haine et ses effets

Mais que signifie exactement être victime d’un crime de haine ? Le LSVD informe que de telles attaques ne touchent souvent pas uniquement des individus, mais sont également dirigées contre des groupes entiers. Les personnes LGBTIQ* en particulier sont souvent en danger dans les espaces publics, et les identités visibles peuvent motiver les criminels violents à commettre des attaques. De tels actes, qui se produisent souvent dans l’ombre des préjugés et de l’intolérance, restreignent considérablement la liberté des personnes concernées.

Selon les statistiques, le nombre d’agressions contre les personnes LGBTIQ* a augmenté de manière alarmante ces dernières années. En 2023, plus de 1 700 crimes de ce type ont été enregistrés. Ce qui est particulièrement inquiétant, c'est que de nombreuses personnes concernées ne signalent pas le crime par peur, ce qui porte le nombre de cas non signalés à 90 %. Le LSVD appelle donc à des mesures globales pour lutter contre la violence anti-queer ainsi qu'à une meilleure compréhension et sensibilisation de la part de la police et de la justice.

Les événements de Brême nous rappellent de manière urgente que la lutte contre la discrimination et les crimes haineux est loin d’être gagnée. Il s’agit d’un appel à la solidarité et à l’action qui garantissent une société sûre et inclusive pour tous.

La police demande des informations sur les auteurs et est joignable au (0421) 362 38 88.