Boualem Sansal: Dix ans de prison requis - un procès de liberté!

Boualem Sansal, franco-algerischer Schriftsteller, muss sich am 1. Juli 2023 einem Berufungsurteil über zehn Jahre Gefängnis stellen.
Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, doit faire un jugement d'appel sur dix ans de prison le 1er juillet 2023. (Symbolbild/MND)

Boualem Sansal: Dix ans de prison requis - un procès de liberté!

Alger, Algerien - Les salles judiciaires en Algérie sont actuellement des emplacements de litiges intensifs sur la liberté d'expression et les formes d'expression littéraires. Le 24 juin 2025, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal a de nouveau été jugé, où le procureur a demandé une peine de dix ans de prison et une amende de 1 million de dinar (environ 6 630 euros). Cette exigence représente un resserrement important de la peine initiale que Sansal avait reçue le 27 mars 2025 pour ses déclarations sur le gouvernement - cinq ans de prison et une amende de 500 000 dinar, comme Le Monde rapporté.

Sansal, qui s'est appuyé sur l'art de l'auto-représentation basé sur le film dans sa défense, est apparu sans avocat et a rejeté toutes les allégations comme des rumeurs dans l'audience d'appel. L'acte d'accusation comprend une variété de points, notamment l'insulte d'une autorité de réglementation et la propagation de fausses nouvelles. Le premier jour du procès, le 1er juin 2023, l'auteur a expliqué qu'il était préoccupé par la défense de la littérature et que la Constitution algérienne garantit la liberté d'expression, comme El Watan.

le processus et son arrière-plan

La présence du tribunal de

Sanal attire l'attention nationale et internationale. Le sujet de la négociation n'était pas seulement les œuvres de son écrivain, mais aussi ses dernières déclarations sur la politique algérienne et ses relations avec les diplomates étrangers. La négociation elle-même n'a duré que 15 minutes, selon [Le Monde] (https://www.lemonde.fr/afrique/article/2025/24/proces-de-boualem sansal-dix-s-srison-re-en-appel-ecrivain_6615604_3212.html). Malgré cette complexité, Sansal n'a pas été repoussé et est resté dans son argument selon lequel il vit en France en tant qu'homme libre et n'a visité qu'Algérie.

La situation autour de Boualem Sansal n'est pas un cas isolé, mais fait partie d'une tendance plus large qui concerne la restriction de la liberté d'expression et de la presse en Algérie. Le journaliste Ihsane El Kadi, qui a été arrêté sans mandat d'arrêt en décembre dernier, est un autre exemple de la forte répression contre les voix critiques. Les rapports sur son arrestation et sa conviction montrent à quel point les autorités algériennes réagissent à différentes opinions, qui est également discutée dans une explication du Parlement européen

un développement inquiétant

Ces dernières années, la situation des professionnels des médias en Algérie s'est considérablement détériorée. Les organisations internationales ont dénoncé à plusieurs reprises les violations des droits fondamentaux, et l'Algérie a pris la 136e place dans le classement de la liberté de la presse en 2023. Ce développement jette un éclairage critique sur le paysage politique du pays. L'UE exhorte les autorités algériennes à restaurer les libertés fondamentales et à respecter les travaux journalistiques.

La décision sur le jugement d'appel dans le cas de Sansal sera annoncée le 1er juillet 2023. Le résultat de cette procédure pourrait être pionnier de la liberté de littérature et de la liberté d'expression en Algérie. À une époque où les voix de la vérité sont plus demandées que jamais, la question demeure combien d'autres écrivains et journalistes doivent encore se battre pour faire la voix pour être entendus.

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OrtAlger, Algerien
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