Qualité de l’air à Göttingen : Focus sur les poussières fines et l’ozone !

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Données actuelles sur la qualité de l'air à Göttingen au 30 juin 2025 : les mesures montrent des niveaux de poussières fines, de dioxyde d'azote et d'ozone.

Aktuelle Luftqualitätsdaten in Göttingen am 30.06.2025: Messungen zeigen Feinstaub-, Stickstoffdioxid- und Ozonwerte.
Données actuelles sur la qualité de l'air à Göttingen au 30 juin 2025 : les mesures montrent des niveaux de poussières fines, de dioxyde d'azote et d'ozone.

Qualité de l’air à Göttingen : Focus sur les poussières fines et l’ozone !

À Göttingen, la qualité de l’air est examinée de près chaque jour. Une évaluation complète des valeurs actuelles de poussières fines (PM10), de dioxyde d'azote et d'ozone sera effectuée aujourd'hui, 30 juin 2025, à la station de mesure de la Bürgerstraße. Les limites ambitieuses pour les PM10 sont de 50 microgrammes par mètre cube d'air, le dépassement autorisé étant limité à un maximum de 35 jours par an. Selon le Göttinger Tageblatt, « médiocre », « modéré », « bon » et « très bon » – en tenant compte des valeurs pour le dioxyde d'azote, les particules fines et l'ozone.

L’intérêt porté à ces données n’est pas seulement perceptible au niveau local, mais aussi au niveau national. En Allemagne, le gouvernement fédéral est attentif aux exigences et normes actuelles : en 2023, l'Agence fédérale de l'environnement a publié de nouvelles données sur la qualité de l'air qui montrent qu'il existe une pollution atmosphérique généralisée causée par des poussières fines et du dioxyde d'azote, nocive pour la santé. Près de 99 pour cent de toutes les stations de mesure dépassent les recommandations de l'OMS concernant les poussières fines, qui sont de 5 microgrammes par mètre cube. Cette tendance est particulièrement nette dans des villes comme Munich et Essen, où les valeurs limites dans ce pays sont littéralement inondées Deutsche Umwelthilfe rapporte.

Effets et tendances sur la santé

Les conséquences sanitaires de la pollution atmosphérique sont énormes. Les recommandations de l'Agence fédérale de l'environnement sont claires : si les valeurs sont « très mauvaises », les personnes sensibles doivent éviter les efforts physiques à l'extérieur ; Si les valeurs sont « mauvaises », les activités intenses doivent également être évitées. Ceci vise à aider à minimiser le risque de problèmes de santé aigus. La cause de ces risques sanitaires réside notamment dans la pollution générale par les particules, qui a diminué depuis les années 1990, mais reste constamment élevée dans de nombreuses zones métropolitaines Umweltbundesamt.

Les valeurs moyennes annuelles des PM10 ont diminué depuis 2000 et se situent désormais entre 15 et 20 µg/m³. La pollution par les poussières fines reste néanmoins un problème urgent en Allemagne. Les réglementations légales stipulent que la valeur moyenne journalière de 50 µg/m³ ne peut être dépassée plus de 35 jours par an, mais en réalité elle est souvent dépassée, notamment dans les zones urbaines.

Les poussières fines et leurs sources

Les causes de cette pollution atmosphérique sont diverses. La circulation routière, l'industrie et les systèmes de chauffage sont d'importantes sources humaines de poussières fines. L'Agence fédérale de l'environnement rapporte également que des poussières fines secondaires peuvent également être produites par des polluants gazeux tels que l'ammoniac ou le dioxyde de soufre. Dans ce contexte, les feux d'artifice du réveillon du Nouvel An provoquent notamment d'importantes émissions de poussières fines, avec environ 2 050 tonnes par an. Sur ce total, 1 500 tonnes ont été produites rien que la veille du Nouvel An. Bien que cela soit relativement faible par rapport à la pollution annuelle moyenne, ces polluants atmosphériques provoquent néanmoins une détérioration temporaire de la qualité de l'air dans de nombreuses villes [Göttinger Tageblatt].

Dans l’ensemble, la question de la qualité de l’air reste un défi central pour notre santé, et pas seulement à Göttingen. Même si les valeurs sont souvent plus faibles dans les zones rurales, nous devons tous travailler ensemble sur des solutions pour améliorer durablement la qualité de l’air.