Brunswick : Un mari met le feu à sa femme endormie – le procès pour meurtre commence !
Le 4 novembre 2025 s'ouvre à Braunschweig le procès pour meurtre contre un mari qui aurait incendié sa femme pendant qu'elle dormait.

Brunswick : Un mari met le feu à sa femme endormie – le procès pour meurtre commence !
Le 4 novembre 2025, un effrayant procès pour meurtre s'ouvre à Braunschweig, choquant les avocats et les citoyens. Au centre du procès se trouve un homme de 50 ans accusé d'avoir versé de l'essence sur sa femme pendant qu'elle dormait et d'y avoir mis le feu. L'incident s'est produit en mai à Goslar. C'est un drame qui questionne et émeut les esprits.
Le mobile présumé de l'accusé est la jalousie, car il soupçonnait l'infidélité de sa femme. Mais le déroulement exact du crime n'est pas clair : si certains pensent que la femme a sauté par la fenêtre, d'autres affirment qu'elle a été poussée. Le premier jour du procès, l’accusé est resté silencieux et n’a fait aucune déclaration. Il est également dramatique que trois de leurs quatre enfants se trouvaient dans l'appartement au moment du crime. Particulièrement tragique : une fille adulte handicapée dormait dans la chambre de sa mère.
Une soirée fatidique
Le procès révèle comment les événements ont atteint leur paroxysme. L'accusé a sorti sa fille de la pièce avant le crime pour la mettre en sécurité. Après le terrible incident, l'homme s'est rendu dans le jardin avec les enfants tandis que la femme en feu appelait son fils aîné. Il a agi rapidement et a éteint l'incendie, mais les blessures étaient trop graves. La femme est décédée plus tard à l'hôpital des suites de ses graves brûlures.
Le procès durera jusqu'en décembre et les prochaines dates de procès ont déjà été fixées. Il reste à voir comment les preuves évolueront et quels autres détails seront révélés.
Un autre chapitre sombre
Alors que le procès du mari accusé commence à Braunschweig, une autre affaire de meurtre à Görlitz choque. Un homme de 29 ans doit répondre devant le tribunal régional de Görlitz. Le motif de la jalousie est également présent ici. L'accusé plaide la légitime défense, mais la déclaration du président du tribunal soulève des doutes. Il a déterminé qu'il n'y avait pas de légitime défense puisque l'attaque de la victime était terminée.
L'affaire tourne autour de la mort d'un homme de 28 ans, décédé il y a dix mois des suites de jalousie et d'une dispute très émotionnelle. L'accusé a déclaré qu'il avait saisi le couteau lors d'une bagarre et l'avait poignardé parce qu'il avait peur pour sa vie. Dans une tournure dramatique des événements, il a poignardé la victime à cinq reprises, l'un d'entre eux ayant touché le cœur.
Les deux processus montrent à quel point la jalousie peut être profonde dans les relations et les conséquences tragiques qu’elle entraîne. La question qui reste à clarifier est de savoir quels facteurs conduisent à des réactions aussi extrêmes et comment la société gère ces conflits.